1m84 • 96kg de pur chaos • des yeux marron clair avec des reflets dorés à la lumière • cheveux blancs argentés autrefois blonds platine • ses rares sourires sont de mauvaise augure • vieux con qui exècre le changement, il porte toujours un calepin avec diverses notes, indications et repères dessus.

Une masse sombre et filiforme s'allonge, les épaules larges, humanoïde au teint pâle, à l'allure courbée, vampirique, dont les deux yeux clairs transperceraient l'obscurité la plus profonde qui soit. De longs bras étendus comme deux armes meurtrières, des articulations craquelantes au moindre repli. Un tatouage plus noir encore, orne le milieu de ses omoplates et s'allonge jusqu'au bas de son dos. L'illustration n'est pas sans rappeler celle d'une rapière entourée par un cobras à la gueule grande ouverte. Lorsque sa mâchoire s'étire dans un bâillement bruyant ses crocs plus apparents laissent entrevoir une certaine menace. La chose plus que l'homme, semblerait ironiquement plus raisonnable pour peu qu'on lui accorderait ce qu’il attend.

• Plus que sa taille, sa carrure en impose et se démarque dans la foule. Sa chevelure grisée n’est pas témoin de son âge mais plutôt d’un changement volontaire de sa part. Marbàs renvoie de lui l’image d’un vieux de la vieille qui en aurait vu des vertes et des pas mûres dans le monde entier, qui aurait du vécu, et ce serait peu dire. En peu d’années de nombreux aléas l’ont physiquement marqués. Cicatrices, mauvaises habitudes, attitudes primitives... ce qui contraste beaucoup avec ses aspects plus distingués par moments.

• D'ordinaire il revêt des tenues formelles, incolores, souvent semblables à celles qu'auraient pu porter la population d'Angleterre au dix-huitième siècle. Parfois il lui prend d'ajouter une touche de rouge à ses ensembles. Certains en disent qu'il s'agit d'un repère pour deviner son humeur du jour.

• Outre ses manières de rustre et son langage fleuri de jurons improbables, il parle -relativement bien- plusieurs langues. Sa langue natale, l'anglais, le français, le japonais, ainsi que quelques bases d'allemand.

Autoritaire • Hypocrite • Borné • Mesquin • Démoralisateur • Franc • Colérique • Rancunier • Impatient • Familier • Matérialiste • Versatile • Adroit • Ingénieux • Assuré • Incrédule

• Toxique. En un mot comme en cent, Marbas est la parfaite incarnation DU connard par excellence. Il fait probablement parti de ceux qu’on qualifierai instinctivement de monstre le plus infecte, exécrable et versatile au monde.

• Profondément antipathique, puisqu'il ne témoigne aucun intérêt pour qui que ce soit et se moque éperdument du sort de chacun. On pourrait lui demander clairement de l'aide en étant désespéré qu'il détournerait le regard, poursuivrait sa route et oublierait le malheureux la seconde suivante. Pourquoi s'emmerder pour des gens qu'il ne connait pas ou au mieux, l’oublieront aussi bien le lendemain? Ou le poignarderai pour une pièce? Sa confiance ne va en personne d'autre que lui. Il se donnera toujours les moyens de faire les choses par lui même et pour lui même. Il n'a aucune foi en vous et vous le lui rendrez bien. Il ne vaut mieux pas compter sur lui ne serait-ce que pour jeter un regard en arrière. Pécore, richou, grande, petit, fille, garçon, travlo, roux, blonde, fils de fromager ou fille de divinatrice bizarre, cadre dans une entreprise prospère ou homme de foi... il s'en bat le cul royal. Peu lui importe qui vous êtes, où vous avez vécu, où vous créchez, avec qui, vôtre passé... vous n'avez strictement aucune valeur. En tout cas, pas plus que ses clopes dans ses bons jours...

“Hey, et si j'allais nous chercher un café?
- Propose moi encore cette merde et j'te colle ta cuillère si profondément dans l'nez qu'on pourra enfin déterminer si ton crâne est vide ou si une araignée y a élu domicile.
- ... O-kéé. Pas de café, c'est noté!”

“Fumer ça tue!
- Pas plus vite que ma main dans ta tronche si tu planques encore UNE FOIS mes clopes.”

• Lâche, il échappera toujours à une situation qui le dépasse, serait susceptible de le mettre en danger, ou simplement pour fuir la moindre déplaisance. Fuir pour être tranquille, fuir pour ne pas assumer ses bourdes, fuir parce qu'il semble avoir constamment la mort collée aux trousses. Menteur, doublé d'un manipulateur invétéré, selon sa philosophie de vie il faut être capable de tromper pire que soit pour survivre dans un monde aussi tordu que celui qui l'abrite. Il échoue d’ailleurs rarement dans ce qu'il entreprend. Mauvais perdant borné comme il est il aurait trop horreur qu'on lui donne tort. Le raisonner relève donc quasiment de l'impossible. Lorsqu'il prend une décision, il s'y tient. C'est la règle. Mesquin impétueux de surcroît il peut s'emporter facilement pour absolument n'importe quoi. Tout dépend de ses instables humeurs et tout devrait aller dans son sens. Marbàs s'en donne le droit. Il n'a jamais tort après tout.

• Beauf, bourrin non content d'être bourré de défauts il n'est aussi pas avare de vices. Il  échappe de peu au titre de tueur pour adopter celui de la violence et du laisser aller. En prime, il faut supporter ses côtés volages. Il ne s'attache pas certes, mais il adore se défouler de différentes façons.

“Attend, t'as vraiment incendié cette forêt?!
- Trop d'arbres. Plus d'arbres, plus de problème.
- Mais putain! Marbàs! T'étais à DIX putains de mètres de la route! T'étais pas perdu!! T’abuses...”

C’est le genre de type qui remet en doute le fait qu'il puisse exister du bon en tout individu. Le genre pour lequel les plus gentils s'évertueront à le changer, possiblement dans l'espoir de ne pas briser leur croyance en leur vision pacifiste du monde. Ils abandonneront forcément en comprenant qu'a partir d'un stade on dépasse celui de l'humain. Irrécupérable. Plus glacial que ses terres natales. Sa présence imposante met mal à l'aise, il n'est pas vraiment loquace. Lancer la conversation avec lui est un réel défit. Marbàs a la haine et le fait clairement comprendre.

Ceci étant... on ne pourrait honnêtement pas nier qu’il est possible de lui trouver certaines qualités. L’homme aura beau être un alliage d’horreurs -et elles éclipseront largement le reste- il n'en reste pas moins encore assez éloigné de l’image d’un modèle informe dénué de vie.

Marbàs est un acharné, ce qui en fait un excellent travailleur. Perfectionniste, le sens du détail, très impliqué, tant qu'on ne le dérange pas. Sa concentration ne dure jamais cela dit. Le moindre bruit est susceptible de l'emmerder. Il recommencera donc inlassablement un plan jusque à obtenir un résultat satisfaisant. C'est indéniable, il est talentueux lorsqu'il s'y met sérieusement. Il existe une solution à tout problème et il la trouvera. Secundo, il fait de bons thés. Dommage qu'il ne soit pas très partageur. En dernier lieu, nous pourrons déplorer un savant mélange de grossièretés et de classe dans son langage, qui aurait eut un effet intéressant s'il ne lançait pas des regards assassins à ses interlocuteurs. Ces derniers confirmeront aussi qu'il ne suffit pas de porter des tenues formelles pour avoir l'air noble. Tout est véritablement dans le regard tueur et hautin.

Cette “semi intégrité” dont Marbàs ne parvient pas à se détacher pourrait sembler être une bouée de sauvetage pour les concernés, puisque l'impression de devoir quelque chose à quelqu'un est une profonde emmerde. L'une de ses devises favorites révèle donc parfaitement son état d'esprit général: à service rendu, service dû. Marbàs n'oublie rien. Jamais. Encore moins lorsque son animosité s'en mêle. Ainsi, on saura qu'il paie ses dettes à coup sûr. Sans un sourire évidemment mais ce sera fait. Ses principes et sa morale sont limités et discutables. Néanmoins, il lui reste un semblant d'âme. Sans doute? Niché au sein d'un tas d'ordures et de ruines si ce n'est pas qu'un mythe oublié?

• Vif autant physiquement que d'esprit et malgré ses manières brutales. Son seuil de tolérance vis-à-vis de tout est si diminué qu'il réagit constamment à chaud. Foncer dans le mur, constater les dégâts après. En fin de compte, on peut en dire qu'il fait parti de ces gens qui préfère demander pardon que permission. Mais sans demander pardon.

Son caractère discordant le rend difficile à cerner. Marbàs demeure à la fois un grand colérique, brutal dans ses emportements, acerbe dans ses paroles en plus d'être simplement mauvais, avare et égocentré. Sa barbarie est toutefois aussi évidente qu'intériorisé. Il n'en vient pas si souvent aux mains et a accumulé de nombreuses connaissances au fil des âges. Son intellect ne se délimite donc pas à ses excès. Il peut faire preuve de bien plus de patience et d'ingéniosité qu'on ne le croit. C'est ce savant mélange d'oppositions qui en font un homme inabordable: on ne peut que le détester tant que tout ne va pas dans son sens.

Somme toute, monsieur renvoie de lui l'image d'un connard ayant été élevé par un Grizzli un poil savant. Quant au fait de vérifier si l'image colle avec le reste, il faudrait un cobaye masochiste pour le découvrir. Ou juste un malchanceux de passage...

“oh, mais il est trop chou ce petit lapinou!
- Mouai.. pourquoi pas.
- sérieux?!
- Ouai, je suis sûr qu’en civet ça passe très bien.
- ah... je me disais...”

☆ Les histoires de ce genre se terminent souvent comme elles ont commencées: sous couvert d'une nuit infiniment sombre, une silhouette indéfinie se retrouve cernée par un silence méthodiquement recherché.

Monstre aux nerfs perpétuellement chauffés à blancs, il est reconnu par ses pairs et au moins autant respecté que méprisé par ces derniers selon leurs expériences acquises à ses côtés. Si sa réputation d'infâme connard le poursuit depuis ses débuts il faut savoir qu'il fût une époque où il ne détestait pas encore le monde entier. Marbàs aura beau affirmer ne pas se souvenir de tout, son entourage proche devine sans mal qu'il cherche simplement à ne pas assumer cette médiocre partie de sa vie.

Passé//

Ce soir là son paternel s'était endormi devant sa série de flics favorite. C'était plus agréable de le voir profiter de son weekend de cette façon. Sa mère, elle, s'attelait à recoudre un bleu de travail usé. C'est qu'il ne faudrait pas admettre qu'elle est trop pingre pour simplement en acheter un neuf.
Marbàs quant à lui, s'était installé contre la fenêtre du salon, éclairé seulement par les brefs coups colorés qui sortaient du téléviseur. Recroquevillé, les genoux serrés contre sa poitrine, il observait la tempête qui se profilait au dehors. Une toute petite tâche noire venait d'apparaître au milieu, semblable à une araignée qui se serait introduite dans la maison on ne sait comment. Et puis, la tâche grandissait, lentement. Jusqu'à ce qu'il soit possible de discerner la silhouette épaisse d'un homme emmitouflé dans un manteau noir et une écharpe bleue rayée. De la neige recouvrait ses épaules.

"Maman? Y'a un monsieur qui avance vers la maison, c'est qui?
- On attend personne, tu n'ouvres pas la porte si il frappe."

La remarque l'a heurté, pas tant pour l'aspect sec et curieusement sérieux de sa mère, plutôt pour la remarque elle même. Ce n'est pas comme si il ouvrait la porte aux gens habituellement. Encore moins à une heure tardive, et à quelqu'un qu'il ne connait pas.

Cette nuit là il s'est enroulé dans ses couvertures la peur au ventre, l'esprit embrumé par des tas d'idées rocambolesques: et si c'était un espèce de tueur en série qui allait massacrer sa famille tant que la tempête couvrira le bruit d'une arme et des cris? Et si c'était un oncle inconnu au bataillon qui allait le kidnapper pour le vendre dans ces pays horribles ou les enfants sont affamés? Et si c'était un cannibale comme dans cette série ou ils tendent des pièges à des gens pour revendre leurs organes à des mafieux après? La tempête semblait s'intensifier au dehors, il se roulait encore plus en boule dans ses couvertures en attrapant un jouet par terre à sa portée.

Au petit matin c'est un rayon de soleil qui le tirait de ses deux seules heures de sommeil. En descendant les escaliers pour rejoindre le salon il trouvait la porte d'entrée grande ouverte. Une voiture de police avait l'air en attente sur le trottoir dehors alors que sa mère répondait à un agent. Un autre s'approchait de lui pour le mettre à l'écart, dans la cuisine.

A ce qu'il parait papa avait fait des conneries alors il allait être emmené. Il ne le reverrait peut être qu'à travers des barreaux dans la ville voisine, dans une prison déjà blindée de ces criminels dont son paternel ne faisait pas partie. Des conneries? Quel genre de connerie, ça, même sa mère est toujours restée vague à ce propos...

2028//

"HEY! Viens là. C'est QUOI cette soudure de merde?!
- C'toi la merde..."

Pam! Une tape à l'arrière du crâne.

"OH! J'suis ton patron! Tu m'causes meilleur. Compris tronche de cake?!"

Le regard du gamin déviait sur autre chose alors qu'un des apprentis plus loin pouffait de rire. Son regard voulait dire "je te l'avais dis". Le concerné sentait plutôt un "je ferais toujours mieux que toi". Au sein de l'atelier de chaudronnerie la tension était toujours étouffante pour les autres. Il n'y en a qu'un qui s'en moquait parfaitement. On le percevait comme le fayot de la bande simplement parce qu'il réussissait mieux, comprenait mieux, faisait tout plus vite. C'est ce qu'appréciait le patron, alors on le traitait aussi de petit favorisé. Le problème pour des imbéciles dégénérés, c'est quand ils ne peuvent pas se défouler sur ce qui leur pose problème. Alors plutôt qu'une bagarre bidon ils font des stupidités plus dangereuses...

Planquer ses affaires ce n'était qu'une question d'une recherche, mais rapidement ils en venaient à lui mettre un coup d'épaule pendant la manipulation d'un outil suffisamment dangereux pour alerter un surveillant. C'est à partir de là qu'un cercle vicieux s'est installé: on le surveillait davantage, les interventions du patron renforçait l'impression de "chouchou" et les autres le détestaient encore plus. Finalement, c'est Marbàs qui a prit l'initiative d'aller les remettre à leur place durant la pause de l'après midi. Un cassage de gueule en bonne et due forme. Le truc, avec des pompes de sécu, c'est que c'est fait pour résister à de gros chocs. C'est du solide. Alors s'en prendre une dans la tronche y'a des chances que ça fasse valdinguer une dent en dehors.

Un renvoi partiel de l'atelier en valait la peine puisqu'on lui a foutu la paix le reste de l'année. Comme quoi des fois, s'improviser chirurgien dentaire ça fonctionne bien.

2033//

"Ca ressemble juste à un A, ça n'a rien d'incroyable.
- C'est la tour Eiffel quand même! Elle est immense!
- J'ai vu des buildings plus haut que ça chez les Amerlocs...
- T'es chiant..."

La jeune femme se laissait emporter contre son bras en s'amusant de son cynisme. C'est ce qui faisait partie de son charme, à ce qu'il paraît.

"Y'a jamais rien pour t'impressionner hein?
- Ah si. Pas plus tard qu'hier j'ai vu ton-
- babe!
- Quoi? J'allais dire ton prochain bouquin. Nunuche."

Un échange de sourires.

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.

Ils se sont connus durant leurs études et leurs voyages. Deux rencontres différentes, opportunes, hasardeuses et bienheureuses. En ce temps là Marbàs savait encore témoigner de son affection pour son entourage. A sa manière. Maladroit quoique sincère. C'est ce qu'elle a vite cerné, Celia. Il l'aimait tant pour son rire, ses gentillesses et toute la douceur qui caractérise l'ensemble de ses intentions et ses mots. Elle aimait le rose et le rouge, les plats simples et la pluie en pleine journée. Elle écoutait des valses et du jazz, aimait sentir l'odeur des boulangeries qui ouvrent au petit matin. Elle ne s'offusquait jamais d'une pique et y répondait toujours positivement, comme si la méchanceté n'avait jamais existé dans le monde lorsqu'il la regarde.

Entraîné par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emporté au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
La femme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...

Les conventions, les journaleux, le travail en retard, les éditions à la chaîne. L'orage se déclarait soudain alors que le ciel demeurait clair, désert d'aucun nuage. Ils se voyaient moins, se parlaient moins. Le plus naturellement du monde elle s'est rapprochée de ses aspirations et son travail alors qu'elle s'éloignait de lui chaque jour un peu plus. Et lui, comme un vieux mur décrépi restait présent sans intervenir. Parce qu'il sait qu'elle tenait à cette passion. Il n'allait pas s'accrocher à elle pour l'arrêter dans son élan. Ce serait la faire chuter pour rien. Juste pour lui.

2036//

"Une mutation? Genre toi, tu vas aller au Japon? Toi? L'espèce de gros raciste qui appellerait tout les asiat' "chinois" juste parce qu'ils ont les yeux bridés? T'as vraiment accepté!?"

Ca lui donne la gerbe de se l'entendre dire.

"Oui, moi. Et si tu l'ouvres encore j'te fais passer par dessus le Golden Gate avec une brique de ma confection."

Sa voix tonnait, le malheureux se retenait de lever les yeux en l'air pour déposer le tas de paperasse sur son bureau et filer en vitesse. Marbàs avait été recommandé dans la grosse entreprise des japonais, basée à Ms-Town.

Quand on y pense... ça sonne vraiment "mst".

2047//

Ah non mais, en 1619 ça se passait très bien l'esclavagisme. On sait ce que ça a donné n'est-ce pas? On sait sur quoi ça débouchera hein? Une belle idée de merde. Pratique à court terme mais pourquoi pas? Si y'a des gens assez cons pour y croire et d'autres encore plus cons pour faire durer le plaisir...

Marbàs a l'impression d'un retour en arrière dans le temps sans ne pourtant jamais avoir connu cette période de l'histoire. A vrai dire, il considère davantage ces hybrides comme un mélange "bestiole et humain". Ne considérant déjà ni l'espèce humaine ni animale, ce serait comme lui demander "t'en penses quoi d'avoir un genre de machin vivant qui ferait le ménage chez toi gratuitement tout les jours?". Ce serait une plante qu'il penserait pareil.

C'est la raison pour laquelle il a pris sa journée pour passer au centre: ça a quelle gueule exactement, cette vente d'hybride? Il donne quelques billets et repart avec un pantin de même valeur qu'un hamster? Ou ils ont une fausse étique qui l'obligerais légalement à le tenir en état?

Bah, on verra bien...