Forum de RP 18+ - Ya/Yu/H - Contexte contemporain avancé - Avatar non réaliste - Thème principal maître/esclaves - 2 races (humain/hybride) - 300 mots min par post
 
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Fenrir Freerik [Hybride mâle - Loup noir]
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Fenrir Freerik
Messages : 31
Orientation sexuelle : Homosexuel ambivalent
Caractère : Mixte
Esclave / Hybride de : Kimimoto Kojita
Fenrir Freerik

Hybride mâle
Mar 29 Nov 2022, 23:24

« … »

Identité

Fenrir Freerik

Surnom : Celui qu'on lui donnera.
Âge : 22 ans
Date de naissance : 26/01
Signe astro : Verseau
Nationalité : Norvégienne
Famille & amis : Pas encore mais ça viendra p'tete.
Hybridation : Mi-humain, mi-Canis Dirus (plus grande espèce de loup)
Orientation sexuelle : Homosexuel
Particularités :
- Dents taillées pour ressembler à celles d’un loup tout en restant humaine;
- Très résistant au froid de par ses origines norvégiennes et la majeur partie de sa vie passée en Islande, il peut se balader torse nu en hiver et trouvera juste qu'il fait un peu frais;
- Meilleure ouïe que la plupart des gens

Derrière l'écran

☆ Pseudo & âge : Valkeriel, 36 balais
☆ Origine de votre avatarYoshiro, OC de Nattanapat Jordan (KidKyan)
☆ Comment avez-vous trouvé le forum ? Mystère et patates au beurre
☆ Votre impression sur le forum ? Je me perds dans le modèle de la fiche.
☆ Lien de votre personnage avec un autre personnage du forum ? Désolé je vois pas le futur.
☆ Questions & autres infos : Je me suis marré à mettre de la couleur dans les dialogues de l'histoire.


Miroir, mon beau miroir

☆ Variant d’un mètre quatre-vingt-cinq de hauteur, en passant par quatre-vingt-douze oreilles dressées, jusqu’à un peu plus de deux mètres dressé sur ses pieds, Fenrir dépasse aisément le commun des mortels en hauteur, donnant une interprétation concrète à l’expression regarder les gens de haut.

De haut en bas voilà comment l’on décrit le jeune homme à la peau basanée : une paire d’oreilles lupines couverte d’une soyeuse fourrure d’un noir ébène aux nuances brunes, surplombant une chevelure batailleuse de la même teinte tantôt libre tantôt coiffée, ramenée en arrière dans une queue de cheval entourant un visage ovale. Souvent froncés en lui donnant un air renfrogné ou trop sérieux, ses sourcils coiffent une paire d’yeux attentifs, dont les épreuves subies et le temps qui passe ne lui feront pas perdre une once de sa vivacité. Son hybridation lupine a donné à son regard une couleur marron clair, avec des reflets semblables à de l'or.

S’il le loup garde la bouche fermée, c’est pour ne pas effrayer les gens. En effet, durant son séjour comme combattant dans une arène de combat illégale, son geôlier lui a fait tailler les dents en pointes acérées accentuant leur dangerosité et faisant ressortir ses canines. Précautionneux et loin d’apprécier cette attention, le loup préfère donc éviter de les dévoiler s’il n’est pas en confiance avec les gens autour de lui. Ses ongles ont également été taillé en pointe durant la période où il était dans l’arène mais autrement il préfère les garder court pour éviter de blesser les gens s’il doit interagir avec autrui.

En bas de son dos, naissant au dessus de son fessier, le loup possède une queue allongée à l'abondante fourrure longue et douce au toucher, tout aussi sombre que sa chevelure ou ses oreilles animales, balançant lentement au rythme de ses pas lorsqu’il est en mouvement. Il semble que comme pour les chiens, elle remue un peu plus vite lorsque Fenrir est de bonne humeur... juste un peu. Car créé en laboratoire des pieds à la tête, l'hybride est capable de mouvoir et de ressentir sa queue et ses oreilles lupines aussi bien que le reste de son corps humain.

Enfin, ses membres et son torse laissent rouler sous la peau une puissante musculature que le loup entretient autant que possible de par sa fierté à rester en forme et l’utilité d’un tel atout.

Gourmand et frileux, détestez-le car ce loup résiste très bien au froid japonais et une anomalie génétique l'empêche d'assimiler les graisses normalement, lui permettant de manger pour ainsi dire tout ce qu'il veut sans grossir... Ça tombe bien puisque même s'il connait la valeur d'un bon repas, il a un penchant pour le sucre.

En matière de vêtements, pendant la majorité de sa vie, Fenrir n’a toujours porté que des costumes allant de la chemise, au gilet, le tout couvert par une veste sombre, un nœud papillon autour du cou, un pantalon sombre et des chaussures brillantes. Le tout toujours impeccable, étiquette oblige. Ce qu’il portera par la suite dépendra de ce que lui autorisera son nouveau propriétaire.


Ma liberté de penser

☆ Lors des étapes de sa vie, la personnalité de Fenrir s’est peu à peu développée jusqu’à devenir l’homme qu’il est aujourd’hui. Créé dans un laboratoire, l’hybride a très vite su que contrairement à la majorité, il n’avait aucun véritable parent, mais comme il le dira parfois : ce qu’on ne connait pas ne nous manque pas.

Ainsi, bien qu’il ait passé une première période de sa vie entre les murs froid et sans âme d’un bâtiment scientifique, il a malgré tout développé une personnalité enfantine joviale et avide de connaissance jusqu’à ce qu’un événement le propulse aux cotés de son protecteur.

À ses cotés, le loup d’ébène acquerra un but dans sa vie et apprendra à se contrôler pour pouvoir servir au mieux sa jeune maîtresse à l'époque et la protéger au cas où le besoin s’en ferait sentir. Servant et protecteur, guide et confident, personne de confiance et miroir des actes de la jeune fille, Fenrir endossait tous ces rôles, assouvissant à ses heures sa soif de connaissance pour le monde qu’il ne voyait pas.

Mais tout n’est pas que lumière chez une personne et l’arrivée d’une autre au service de son maître, fera naître la méfiance dans l’esprit du loup qui n’accordera pas à cette dernière la confiance qu’il donnait aux gens de son entourage.

Par la suite, le temps dans l'arène le poussera à développer un caractère instinctif, le faisant parfois agir avant de réfléchir, parfois prompte à la colère, plus proche de son enfance.

La "trahison" de Misako, la torture par son bourreau et dernier maître, et la perte de Frigg lui feront apprendre à la dure le coté sombre des hommes et sa confiance ébranlée, le loup fera apparaitre chez lui une nouvelle facette en réponse à ces évènements : l’enfermement. Avant de savoir si une personne sera digne de sa confiance, il restera majoritairement silencieux, gardant ses mots pour lui-même, la barrière de la langue jouant aussi pour beaucoup même si certains mots du vocabulaire japonais ont intégré la bibliothèque de ses connaissances.
En raison de ces rapports forcés, le loup se montrera plus que réticent pour ne pas dire possiblement violent à l'idée de toute relation envers un homme... pendant un temps.

Ses actes, toujours ceux d’un protecteur et d’un serviteur, pourraient cependant le trahir.
La perte de Frigg l'ayant profondément marqué, s'il advenait que le loup trouve une nouvelle personne à protéger, il pourrait se montrer possessif voire jaloux et surprotecteur à l'égard de celle-ci quitte à la suivre comme son ombre de peur de perdre une nouvelle fois la personne sous sa garde.


Il était une fois…

☆ Fenrir a vu le jour dans un laboratoire norvégien à la suite d’un croisement entre la semence d’un jeune homme norvégien aussi grand que musclé, de la graine d’une jeune femme africaine dont les hommes étaient du même gabarit et des gènes reconstitués d’un Canis Dirus, la plus grande espèce de loup (éteinte), tout ça pour favoriser une grand taille à la création issue de ce mélange.

Ainsi, naissant de cette expérience naquit de nombreux spécimens d’hybrides, quatre-vingt pour être précis, mais aucun ne répondait aux critères demandés par les clients japonais : la plupart étaient difformes, certains semblant faire ressurgir le mythe du loup garou sous des formes approchantes, l’un avait un visage parfaitement humain, son corps jusqu’à la ceinture était parfait…Malheureusement en dessous de la ceinture on aurait cru qu’un mauvais farceur avait décapité un pauvre animal pour y attacher le dessus d’un humain ! Et un dernier ne survécu pas.

Bref tout les modèles étaient ratés, sauf un, son seul défaut étant qu’il n’avait pas la peau claire de son viking de père ni la peau sombre de sa mère, plutôt un subtil mélange des deux, le numéro Soixante-dix-neuf était une réussite. Il serait d’ailleurs décidé de l’appeler ainsi pour que personne n’oublie le nombre d’échec pour arriver à celui-là.
L’hybride grandit sans problème pendant les premières années de sa vie, le monde qu’il connaissait s’arrêtant à la vue de la fenêtre de sa chambre, en passant par la cour intérieure du laboratoire et les salles de tests et expérience.

Pour tester l’adaptabilité de leurs cobayes à la vie hors des murs, les scientifiques décidèrent d’étendre leur terrain d’expérience à un parc en ville, en les grimant comme des enfants normaux, cachant leurs oreilles et tout autre attributs animaliers sous des bonnets et en rentrant dans leurs vêtements ou au moyen d’accessoire. Là, les enfants découvrirent les joies de courir dans l’herbe pour la première fois.

Le jeune loup et deux enfants du laboratoire jouaient à grand coup de cris et de rires avec un ballon lorsque la curiosité de Soixante-dix-neuf lui fit tourner la tête vers un homme sur un banc, les observant avec bienveillance. Oubliant de surveiller le ballon qui lui heurta la tête brutalement, résultant en cris de colère du louveteau qui poursuivit un moment ses camarades avant de les abandonner pour aller voir l’homme qui, sans perdre son sourire, lui fit remarquer :

« Tes petits camarades n’ont pas fait exprès de t’envoyer ce ballon tu sais ? »
« Je vous regardais, je savais pas que le ballon venait. »
« Ils sont plus jeunes que toi tu devrais montrer l’exemple et ne pas leur crier dessus comme ça. »
« Plus jeune ? Pas du tout ils ont dix ans et moi cinq. »
« Avec cette taille ? »


En effet, pour les personne extérieures, le loup semblait avoir plus de dix ans mais il n’en était rien. Il avait grandit rapidement en taille, dépassant ses camarades plus vieux et plongeant les nouveaux employés dans la confusion que ressentait le vieil homme. Pourtant, loin de s’en offusquer, la voix du plus jeune retentit.

« Tu lis quoi ? »
« Des contes sur les dieux viking. Tu connais ? »


Secouant la tête, l’attention du loup fut concentrée plusieurs minutes durant sur les récits que partageait avec lui ce nouvel ami, lisant ensemble et s’émerveillant devant les actes de certains personnages du livre jusqu’à ce qu’une voix masculine retentisse brisant leur joie.

« SETH !!! On y va. MAINTENANT ! »
« Tu t’appelles Seth ? Content de t’avoir rencontré alors. »
« Moi aussi… Mais c’est pas mon vrai nom. J’m’appelle Soixante-dix-neuf. Les gens du laboratoire veulent pas que les gens sachent d’où on vient. »
« Quoi ? Quel laboratoire ? »
« Le grand hors de la ville. »
« Je vois… Je pense que nous nous reverrons bientôt mon garçon. »
« J’espère monsieur, j’ai beaucoup aimé parler avec toi. »


Sans lui laisser le temps de répondre, le plus jeune quitta l’homme pour rejoindre celui qui l’appelait. Une fois rentrés, les enfants furent envoyés dans leur chambre après avoir mangés, tandis que les scientifiques discutaient du résultat de l’expérience et d’autres à venir, laissant passer plusieurs jours jusqu’à ce qu’un évènement change la vie du louveteau. En effet, le vieil homme rencontré dans le parc arriva un jour entouré par des hommes en costumes qui sans attendre déferlèrent dans les locaux du bâtiment, ouvrant chaque porte, chaque tiroir, chaque classeur… Quand ils trouvaient l’un des enfants ils les guidaient directement vers l’entrée auprès du vieil homme. Lorsque Soixante-dix-neuf arriva, la voix du chef tonnait déjà à ses oreilles :

« Vous êtes dans des locaux privés monsieur, vous ne pouvez pas débarquer comme si les lieux vous appartenaient ! »
« Oh vraiment et qui a décidé cela ? Vous peut-être ? »
« En effet, seul moi et le propriétaire de cet endroit pouvons faire ce que vous faites et… »
« Savez vous seulement à qui vous parlez ? Je suis Oleg Idgarsson. De la famille Idgarsson. C’est moi qui ait donné les fonds pour bâtir cet endroit, équiper chaque pièce et qui paye les salaires du balayeur jusqu'à vous-même. J’ai également décidé de l’orientation de ce laboratoire et je ne crois pas que la création d’hybrides pour les revendre au Japon en faisait partie. »


Bouche bée, l’homme ne put répondre alors que les hommes en costume continuaient de découvrir tous les secrets cachés du lieu. Le vieil homme se tourna alors vers les enfants, les informant qu’ils allaient venir avec lui et qu’il allait tout faire pour leur trouver une nouvelle vie, où ils ne seraient plus traités comme des sujets d'expérience.

Au moment de partir, sans surprise, alors que les enfants montaient dans des voitures différentes, le vieil sentit sa main tirée en arrière pour découvrir le louveteau clamant qu’il voulait monter avec l’homme… Incapable de résister, il le guida dans la voiture avec lui tandis que le chauffeur prenait la route, suivie par le cortège de véhicules. À l’intérieur, l’hybride s’empressa de bombarder l’homme de question : qu’est ce que lui et les enfants allaient devenir ? Vers où est ce qu’ils se dirigeaient ? Et bien d’autres. Ce à quoi l’homme lui répondit que les enfants ne pouvaient rester dans le pays et qu'ils les envoyaient au Japon auprès de connaissances, où l'existence d'être comme eux était banale.

« MOI JE VEUX RESTER AVEC VOUS MONSIEUR !!! »

La voix du garçon avait tranché net à la conversation, prenant de court son interlocuteur qui s’empressa de dire que c’était pour lui permettre d’avoir une famille qui pourrait prendre soin de lui et l’aimer comme leur fils.

« Je serais jamais le fils de personne vous savez. Je sais d’où je viens, je sais que j’ai été fait à partir d’autres personnes et qu’il y a eut soixante-dix-neuf moi, avant le moi devant vous. Pareil pour Douze et Dix-sept. »

Un silence, l’homme entendant cette nouvelle se referma. Ce qu’avait fait le laboratoire avec les fonds qu’il leur avait alloués lui déplaisait de plus en plus, mais pour l'heure il fallait trouver quoi faire de ce petit… C’est alors qu’une idée germa dans son esprit.

« Si tu veux rester avec moi, j’aimerais que tu me rendes service en retour. »
« Je le ferais ! Qu’est ce que je dois faire ? »
« Tu ne sais pas ce que je vais te demander et tu acceptes déjà ? »
« J’ai confiance en vous. »


Un sourire s’étira sur le visage de l’homme. Ils ne se voyaient que pour la seconde fois et c’était presque comme si l’enfant lui offrait sa vie pour pouvoir rester avec lui. Nul doute qu’une personne malintentionnée en profiterait, mais lui n’aurait jamais cette idée… Ou peut-être pour… Oui avec le temps il en viendrait à le mettre devant cette opportunité, mais pour l’heure :

« J’ai une fille, elle n’est pas à l’aise avec des serviteurs adultes. Tu as presque son âge donc elle s’ouvrira peut-être à toi. Si tu restes avec moi tu seras à son service, tu devras la servir et être à ses cotés à tout moment. Acceptes-tu ? »
« Oui Monsieur. »
« D’accord… Mais nous ne pouvons plus t’appeler Soixante-dix-neuf, il te faut un vrai prénom et un nom, des idées ? »
« En prénom je sais, je suis un loup donc Fenrir ! Depuis qu’on a parlé dans le parc j’ai toujours voulu m’appeler comme ça. Mais je sais pas quoi en nom de famille… »
« Hum… Tu vas être au service de ma fille et devoir la protéger… Freerik, ça veut dire puissant protecteur. »
« Mais je suis pas puissant encore… »
« Pas pour le moment mais un jour je suis sûr que tu le seras. »


Et cette opportunité se présenterait, il savait qu’il irait voir la personne qui pourrait l’aider. Maintenant il faudrait que Fenrir fasse le premier pas, mais ça, Oleg était sûr que ça arriverait, peut-être même avant que sa présence soit remarquée. Revenant à la réalité, l’homme écoutait les questions du garçon toujours plus nombreuses, s’émerveillant du fait que si Fenrir savait qu’il n’était pas un véritable être humain, cette nouvelle ne semblait pas l’ébranler le moins du monde.

Une fois arrivés, le jeune garçon s’émerveilla de l’immense propriété de son jardin tout aussi colossal dans lequel, sur un banc lisait une petite fille vers qui Oleg dirigea le louveteau. La rencontre entre Frigg, la fille d’Oleg et Fenrir se passa bien et la jeune fille, curieuse à propos de la queue et des oreilles, ne cessa de le questionner en demandant si elle pouvait les toucher, pourquoi il était déjà aussi grand s’il était plus jeune qu’elle, est-ce qu’il allait rester longtemps, est ce qu’il reviendrait la voir, où habitait-il ?… Oleg et son épouse Sigrid avait observé la scène avec un sourire, l’un se disant que la scène devait être la même dans la voiture, l’autre trouvant le jeune garçon attendrissant de répondre aussi joyeusement aux questions et requêtes de sa fille. Le temps qui passerait serait sans nul doute paisible… Et il le fut.

L’opportunité à laquelle avait pensé Oleg se présenta plus tôt qu’il l’avait envisagé puisque la personne en question, Iskander, se présenta deux ans plus tard chez eux, il allait devoir entrainer des jeunes à proximité et il souhaitait savoir s’il pouvait louer une chambre d’ami durant la période de son séjour. Oleg refusa catégoriquement, jamais il ne laisserait le fils de feu son frère payer pour loger chez lui. S’il voulait rester il le ferait gratuitement, partager quelques repas en famille en guise de paiement serait tout ce qu’il accepterait. Bien sûr l’homme accepta avec gratitude.

Le matin de l’arrivée d’Iskander, comme à son habitude après avoir mangé, Frigg alla faire un tour du parc avec Fenrir à ses cotés, croisant alors l’homme s’entrainant au même moment qui se dirigea instantanément vers sa jeune cousine, au grand dam du louveteau qui s’interposa pour la protéger malgré la taille imposante de l’inconnu aux larges épaules. Voyant le moucheron entre lui et Frigg, l’inconnu tendit soudainement le bras l’attrapant par le col et le souleva de terre sans mal avec un éclat de rire.

« Et qu’est ce que tu crois pouvoir faire contre moi avec ta taille de minus hein ? »
« Je suis pas Minus, je suis Fenrir, grand tas de muscles ! »
«Fenrir hein ? J’ai entendu oncle Oleg parler de toi. »
« Et alors ?! »
« Alors t’es pas doué pour la protéger. »


D’abord chaleureux, puis un peu dur, l’homme reposa le garçon au sol avant de saluer sa cousine avec un sourire se faisant ensuite réprimander par cette dernière pour avoir été sévère envers Fenrir qui était toujours à ses cotés pour elle. Cédant à son tour à la demoiselle d’à peine une dizaine d’années, l’homme se tourna vers le garçon et lui présenta ses excuses pour l’avoir un peu durement taquiné et lui demanda s’il le pardonnait, la réponse de Fenrir le prit de court.

« Seulement si vous m’apprenez à être fort pour pouvoir protégez mademoiselle Frigg. »
« Quoi ? »
« Monsieur Idgarsson a dit que vous entrainiez des gens pour les rendre forts. Entrainez-moi aussi ! »


Une seconde passa, une nouvelle seconde, puis une main attrapa le louveteau par la taille avant de le mettre sous son épaule et s’éloigna rapidement à la grande incompréhension du bagage, la jeune fille les talonnant jusqu’à la salle à manger où déjeunait le couple qui gloussa en voyant l’arrivée du trio. Pointant le louveteau toujours perdu, Iskander questionna son oncle sur les informations qu’il avait énoncées. Avec un sourire, le maître des lieux répondit simplement qu’il pouvait voir ça comme un paiement s’il le souhaitait. Un soupir, un sourire, le louveteau fut posé à terre, l’homme s’agenouillant prés de lui une main sur l’épaule, le prévenant que ce qu’il faisait était très dur et que s’il voulait refuser c’était encore temps. Après ce serait trop tard, devrait-il le forcer en le tirant par une corde, une fois qu’il accepterait il ne pourrait plus faire marche arrière, ce à quoi avec assurance l’hybride lui tendit la main en disant que Fenrir Freerik ne lui avait toujours pas pardonné ses taquineries et qu’il connaissait le moyen de se faire pardonner. La poignée de main scella le contrat entre les deux.

Comme il était à son compte, le cousin de Frigg resta un long moment chez son oncle, même après ce pour quoi il était venu. Fenrir était pour lui un réel plaisir à entrainer et ce, même s’il avait eut énormément de mal à prendre le rythme. Malgré tout, sa détermination l’avait poussé à donner le meilleur de lui-même au point de donner toujours plus, l’emmenant parfois s’entrainer en Islande pour des périodes de plusieurs semaines. Et aujourd’hui, treize ans plus tard, lorsqu’il revenait leur rendre visite, l’homme constatait toujours avec plaisir les efforts que fournissait le jeune loup pour rester en forme.

Le maigre louveteau de sept ans avait laissé la place à un jeune loup d’une vingtaine d’années, d'une grande taille seulement égalée par Iskander, son ventre et ses membres plats maintenant dotés d’une musculature rivalisant avec celle de l’homme. À coté de ça, comme le jour de leur rencontre, Fenrir et Oleg passaient parfois des soirées à lire et commenter des ouvrages, discutant de la journée, le maître constatant avec plaisir que les cours que sa fille suivait bénéficiaient aussi à son serviteur, seules les langues semblant être un point faible pour lui…

Après cela, les évènements commencèrent à se dégrader. Durant l’un des séjours de Fenrir et Frigg chez son cousin, une nouvelle domestique arriva, Misako : une jeune femme japonaise ayant perdu ses possessions, billet de retour compris et son argent, qui dut accepter un emploi pour pouvoir rapidement rentrer chez elle… Malgré cela elle n’était pas prompte à gagner son billet. Plusieurs fois, il y eut des rumeurs comme quoi certains employés et la japonaise partageaient un même lit la nuit, parfois même en journée. Un jour, alors que Frigg était malade et ne pouvait quitter le lit, Fenrir était parti en cuisine pour chercher le repas de sa maîtresse mais sur le chemin du retour l’attendait une mauvaise surprise. En effet, dans les couloirs de la demeure, la jeune femme emboita le pas du loup en lui parlant d’un ton aguicheur, s’amusant parfois à essayer de glisser ses mains sous les vêtements du jeune homme jusqu’à ce que soudainement :

« Tu comprends pas que j’suis en train d’flirter avec toi là ?! J’ai envie d’coucher avec toi, c’est pas compliqué non ?! »
« Si tu as du temps à perdre à me faire perdre le mien, tu ne devrais pas plutôt aller travailler ? J’avais cru entendre que tu devais rentrer chez toi rapidement. »
« Ouais… Mais là y’a plein d’beaux mecs et j’ai envie de m’amuser tant qu’j’peux. »
« Alors vas courir dans le parc. Tout le monde n’est pas là pour perdre son temps avec toi. »


Sans un mot de plus le loup laissa la japonaise en plan, sans se douter qu’en cet instant, l’avoir rejetée avait fait naître un désir de vengeance ardent dans le cœur de la jeune femme, qui ne sembla pourtant pas lui en tenir rigueur pendant un temps, venant malgré tout le voir pour tenter à nouveau de l’attirer dans son lit de temps à autre après ça, toujours sans succès… Plusieurs semaines plus tard, la jeune femme fut convoquée dans le bureau du maître de maison où elle était attendue par Frigg, son serviteur lupin et le maître des lieux. Quand elle fut entrée et la porte fermée, il enchaina sans attendre :

« Misako, tu es venue travailler ici pour obtenir de l’argent et pouvoir retourner au Japon. Ma fille souhaite rendre visite à une correspondante là bas, donc elle ira accompagnée de Fenrir… Quant à toi… Vu la qualité médiocre de ton travail, je serais tenté de te laisser partir dès maintenant, mais je ne veux pas qu’un autre ait à subir les même pertes que moi. Le billet t’est offert, vous partez tous les trois dans une semaine. »
« Et mon salaire ? J’ai travaillé nan, donc j’ai droit à un salaire. »
« En effet, mais étant donné le prix de ce que tu as brisé par… ta fausse maladresse, considères toi déjà heureuse que je n’exige pas un remboursement complet des œuvres détruites. Maintenant vas-t’en. La conversation est terminée et je ne veux plus te voir. »


Alors qu’elle allait protester, l’homme fit un geste et Fenrir attrapa la jeune femme par une main, la guidant hors de la pièce et refermant la porte en se tenant devant pour éviter toute intrusion. Furieuse, la jeune femme se retint de gifler Fenrir, lui adressant juste quelques mots…

« Tu vas voir, tu vas adorer mon pays, sale animal. »
« Nous serons sur le même vol mais ne t’imagines pas pouvoir faire comme si tu connaissais Mademoiselle Frigg. »

En un instant, la semaine sembla s’écouler. Très vite la demoiselle et son serviteur sortaient de l’aéroport de MS-Town en plein après-midi, sous le regard des passants. Lors du passage du loup immense il se débarrassa d'un chapeau couvrant ses oreilles et tira sa queue lupine hors de son pantalon, une japonaise furieuse quelques mètres derrière eux… Fenrir l’en informant, Frigg lui indiqua de la laisser faire avec un sourire. Maintenant chez elle, Misako allait sûrement s’empresser de rejoindre les siens et de les oublier. Ce faisant le loup arrêtait un taxi et lui ouvrait la porte avant de mettre leurs bagages dans le coffre pour ensuite prendre place à son tour dans le véhicule bas de plafond, laissant le soin à sa maîtresse d’indiquer l’adresse du parc où elle devait rencontrer sa correspondante. Cependant, une fois là-bas, au bout d’un moment où l’attente se prolongeait tandis que le soleil se couchait, le loup inquiet se risqua à une question maladroite :

« Votre amie se souvient-elle que vous deviez arriver aujourd’hui Mademoiselle ? »
« Je l’espère, je lui ai dit que je serais au parc ce jour ici, pour me trouver il fallait qu’elle guette un immense loup noir. »

Un regard vers sa maîtresse sourcil levé, un sourire coupable en retour, un rire partagé entre les deux et finalement une voix familière retentit soudainement.

« Ma chère Friggie, j’ai tellement hâte que tu viennes me voir ! Je t’attendrais au parc où tu m’as donné rendez vous, guettant un immense loup noir… Ta correspondante, Mimi. »

Un silence puis une voix moqueuse.

« Pauvre fille, t’es tellement en manque d’amis que t’as pas remarqué que les lettres n'étaient même plus cachetées quand elles arrivaient chez toi… »

Se tournant vers la voix, les deux réalisèrent qu’elle venait bien de la jeune femme qu’ils avaient quitté à l’aéroport. Tandis que ses oreilles s’agitaient, le loup regarda autour de lui voyant alors apparaitre des hommes armés à l’air patibulaire. L’un d’eux au crâne chauve, plus massif et plus richement vêtu, s’approcha de la japonaise qui lui sauta au cou avec un « papa » retentissant. Inconnu de la langue japonaise, le loup regarda la scène en gardant près de lui sa maîtresse qui lui commentait tout bas ce qu’il ce passait.

« Alors ma fille, ce voyage en Norvège ? »
« Horrible, j’ai du faire croire que j’avais tout perdu pour qu’un riche me prenne comme bonne… Mais bon regarde les deux souvenirs que je t’ai rapportés. Une gamine de riche et un hybride aussi grand que musclé. »

Avec un air carnassier, l'homme s’approcha du duo venant tenter d’attraper le menton de Frigg, mais le bras très vite arrêté par la main du loup, un regard vers l’hybride et l’homme aboya un ordre à ses sbires. Avant qu’il n’ait put réagir, la troupe d’hommes se jetait sur le loup de tous les cotés, le mettant rapidement à terre tout en continuant à le rouer de coups, alors que l’homme examinait l’innocente retenue par Misako.

« Elle est superbe, elle sera un bon ajout à la maison…Quant à lui… un peu de dressage et direction l’arène… Même si je vais me distraire un peu avec lui avant. »
« Oh papa tu es si joueur parfois, tu peux pas t’en empêcher dès que tu as un nouveau jouet. »
« Je dois bien voir si mes intuitions sont bonnes ou non ma chérie. Tu apprendras toi aussi. »

Refermant son poing, l’homme l’enfonça soudainement dans le ventre de Frigg lui coupant le souffle si violemment qu’elle s’écroula à terre sans un bruit, tandis que les hommes continuèrent quelques minutes encore leur pluie de coup sur le loup, même après qu'il soit assommé…

Son corps tout entier criant souffrance, Fenrir entrouvrit péniblement les yeux, désorienté il commença à difficilement regarder autour de lui, se rendant vite compte que des chaines à ses poignets lui tiraient les bras vers le haut, la pointe de ses pieds écartés touchant à peine sol, des chaines serrant ses chevilles le reliant à structure métallique… Malgré la douleur de son corps, il sentait encore qu’il portait ses vêtements. Observant l’endroit comme il pouvait, le loup fit malgré lui un état des lieux mental de ce qu’il voyait : en face et derrière lui des miroirs couvrant les murs, sur les cotés des tables et des étagères où étaient disposés de nombreux outils, des fouets plus ou moins courts, certains avec plus ou moins de lanières, plus ou moins épaisses. Des pinces diverses et variées, des baillons avec une boule, d’autres avec un cercle de métal, probablement comme celui qu’il avait dans la bouche. Une table comportait des petites tiges de métal, certaines courtes d’autre longues, parfaitement lisse ou avec des boules tout du long. Un coup d’œil dans le miroir l’informa de plusieurs structures en bois ou en métal de forme différentes, probablement pour y attacher d’autres personnes. Lui était attaché bras et jambes écartées entre deux poutres de métal avec de nombreux anneaux pour probablement entraver la personne dans diverses positions. Enfin, une dernière structure en bois que le loup identifia comme un pilori, contre lequel était appuyé l’homme que Misako avait appelé papa… Le détaillant des pieds à la tête, il portait de lourdes chaussure de sécurité, un pantalon en cuir noir, son torse nu et musclé arborait un vêtement fait de lanières de cuir laissant voir plus de peau qu’il n'en couvrait, ses bras seulement ornés de bracelet de cuir comme ses poignets, ses mains refermées autour d’un couteau. À coté de lui, se tenait un homme semblant tout aussi mauvais et qui s’adressa au prisonnier dans sa langue natale, traduisant vraisemblablement ce que lui disait le chauve en cuir.

« J’avais peur que tu ne te réveilles pas et que je doive commencer à m’amuser tout seul. Tu peux crier si tu veux, personne ne t’entendra et quand bien même, tu ne serais pas le seul dans ce cas là. Avant de t’inquiéter pour ton ancienne maîtresse, inquiètes-toi d’abord pour toi. J’ai cru comprendre que tu ne parlais pas le japonais ? C’est pas grave tu apprendras ce qu’il te faudra savoir avec le temps. »

Après cela l’homme en cuir congédia l’autre et, jouant avec le couteau, il dévora le jeune homme des yeux, préparant mentalement des tas de projets pour la séance de jeu qui allait commencer… et les suivantes. Finalement, quittant son appui, il vint vers le loup et promena sa main libre sur ses bras, ses jambes, son torse, son dos et son bassin. Face à lui, il vint poser la lame froide contre son visage, son regard pervers verrouillé à celui furieux de Fenrir et lentement la lame descendit sans entailler sa peau, contre son col, coupant les fils d’un premier bouton de gilet, un second, les uns à la suite des autres. Sortant une paire de ciseaux, le bourreau découpa ensuite le vêtement, le laissant choir au sol avant de commencer à faire de même sur la chemise, s’arrêtant à la moitié pour dégager le torse musclé du loup qu’il vint caresser d’une main, s’arrêtant sur un téton pour le coincer entre ses doigts, le faire rouler, le pincer, le lécher, le mordre observant chaque réaction que pouvait avoir sa chose… Après l’avoir débarrassé de tous ses vêtements sur la partie supérieure de son corps, l’homme entreprit de faire de même avec ceux sous la ceinture, ses mains caressant et agrippant ce qui se trouvait devant et derrière le bassin de sa chose.
Après cela des heures durant, pendant plusieurs jours, son tortionnaire revenait, jouant avec lui, le tourmentant sans répit même la nuit. Incapable de résister, Fenrir était passé dans de nombreuses positions jusqu’à ce que finalement l'homme le détache complètement, le laissant tomber au sol. Affaibli par le manque de nourriture, Fenrir se laissa trainer dans des couloirs avant d’être jeté au sol dans ce qui semblait s’apparenter à une cellule où, pour la première fois il parvint à avoir un semblant de repos malgré ses pensées s’inquiétant pour lui et sa maîtresse.

Après plusieurs heures, la porte s’ouvrit dans un grincement, un morceau de pain sec lui fut jeté, la porte se referma pour la journée, puis la journée suivante pareil, et celle d’après… et encore après. Fenrir survivait tant bien que mal, la faim le tenaillant perpétuellement, attendant malgré lui l’ouverture de la porte et finalement une nouvelle fois elle s’ouvrit, cependant cette fois quelque chose était différent… on ne lui jeta pas un morceau de pain. Au lieu de ça, deux hommes vinrent le tirer sans mal de sa geôle et le trainèrent jusqu’à une autre pièce où il fut jeté au sol devant des chaussures qu’il reconnues aisément. Essayant de se relever, l’homme se mit sur le coté le repoussant au sol avant de mettre un de ses pieds devant son visage et exprima un ordre que l’hybride ne comprit pas. Réessayant de se lever, l’homme repoussa le loup au sol, répétant les même paroles cette fois sensiblement moins calme. Après plusieurs essais infructueux du loup, l’homme vint finalement s’agenouiller prés de lui, une main s’ancrant dans la crinière de Fenrir et vint lui coller la bouche contre sa chaussure, aboyant les mêmes paroles une énième fois… cette fois le loup comprit enfin et sortit sa langue, la passant sur la chaussure jusqu’à ce que l’homme lui tapote la tête en laissant entendre un mot d’un ton appréciateur. Pendant plusieurs heures l’apprentissage se poursuivit, des mots simples entrant dans l’esprit de Fenrir : assis, debout, à droite, à gauche, lèches, suces, manges, et bien d’autres… malgré tout l’homme semblait prendre un malin plaisir à inculquer ces mots à sa nouvelle possession, ses mains ne se privant pas pour explorer son corps nu à force de caresses. Se relevant, l’homme s’éloigna, fouillant un instant dans un tiroir du bureau puis revint vers le loup à genoux.

« Debout. Pas bouger. »

A contre cœur l’hybride obéit en se dressant sur ses jambes, ses mains devant sa virilité que l’homme écarta d’une tape, lui faisant ainsi comprendre qu’il ne devait pas se cacher. Complètement nu, sans le moindre secret pour ce nouveau maître, Fenrir le laissa lui passer un collier en cuir assez épais que l'homme verrouilla avec un cadenas, avant de se tenir devant lui un boitier en main avec différent boutons… La pression sur l’un d’eux arracha un cri de douleur au loup, le mettant à genoux. La douleur cessant l’hybride resta haletant de douleur plusieurs secondes. Une nouvelle fois l’homme remit le collier en marche, cette fois plus longtemps, plus fortement, le temps d’aller s’asseoir sur un sofa, les bras sur le dossier et les jambes écartées.

« Viens, à genoux, sans les mains, ouvres, lèches, suces, avales. »

Avec un rictus mauvais, l’homme observa le loup se rapprocher, s’agenouiller et défaire son pantalon avec les dents avant de se mettre à l’œuvre. Par la souffrance il éduquerait cette bête, la briserait pour en faire un jouet parfait. Il avait une taille et une musculature respectable, il s’en servirait, l'entrainerait, le ferait combattre et ramasser encore plus d’argent. Et pour ce qu’il était en train de faire, il n’était pas doué mais il apprendrait, il aurait tout le temps pour ça…

Et c'est ce qui arriva, dans les mois qui suivirent l’homme le fit combattre dans une arène illégale. D’abord réticent, les nombreuses activations du collier firent plier la volonté du loup lui faisant prendre le chemin du combattant. S’il gagna aisément ses premiers combat, gagnant par la même occasion la possibilité de pouvoir se vêtir de façon sommaire et mieux manger, la conséquence de sa première défaite lui inculqua le mot punition : attaché à un pilori et débarrassé de ses habits, son maître avait laissé ses hommes user et abuser de lui des heures durant après son passage et quand il se réveilla, ses dents étaient taillées en pointes. Les semaines devinrent très vite des mois et plus d’un an passa jusqu’au jour ou Fenrir perdit la dernière chose qu’il pensait posséder…

Lors d’un nouveau combat, le loup se retrouva face à deux adversaires qui le mirent au sol, gagnant la victoire et faisant perdre une somme colossale à son maître. Cette fois la punition fut la pire de toutes et à son réveil, il était attaché au pilori dans la salle où il s’était réveillé la première fois. L’homme en face de lui tenait par les cheveux une jeune femme mal habillée, son corps dénudé par endroit laissant voir de nombreuses traces de coups… mais à son visage traversé par des torrents de larmes, Fenrir la reconnut immédiatement. Froidement l’homme prononça seulement trois mots.

« Perdre. Égal. Punition. »

Les secondes d’après semblèrent s’écouler avec une lenteur insupportable tandis que sous les pleurs de la jeune femme et les cris du loup, l’homme vint poser sa main libre sous son menton, son autre main se mettant à plat sur son crâne et, sans quitter son combattant des yeux, mit fin d’un coup sec à la vie de Frigg… L’hybride se figea instantanément tandis que le corps sans vie tombait au sol, son bourreau quittant la pièce.
Complètement éteint, Fenrir ne réagit pas lorsque les hommes de main du bourreau arrivèrent, pas plus lorsqu’ils le muselèrent avant d’abuser de lui une énième fois. Le collier fut ensuite activé et l’hybride détaché, malgré la douleur, se traina au sol jusqu’au corps sans vie de celle qu’il avait juré de protéger. Le prenant doucement contre lui, les larmes de l’hybride coulèrent sans interruption alors que les hommes quittèrent les lieux.

La suite l’hybride ne parvint pas à s’en rappeler, mais peu après les forces de l’ordre eurent vent de cette arène illégale et firent une descente, bouclant tout le monde. Les hybrides et esclaves seraient conduis dans des boutiques. Pour Fenrir et Frigg, deux agents les trouvèrent dans la salle et, à force de douces paroles, parvinrent à ramener le loup à la réalité et à obtenir des informations pour identifier la jeune femme. Quand, avec des efforts, ils parvinrent à lui faire comprendre qu'il devrait se séparer d'elle, le loup se débattit faisant tout son possible pour rester avec elle et, bon gré mal gré, les agents durent se résoudre à le mettre hors d'état de nuire par un coup de taser… Craignant qu'au réveil l'hybride ne se montre brutal, il fut décidé de le menotter et museler à cause de ses dents.

À la suite de ça, Frigg retourna chez elle ou ses parents pleurèrent son décès et l'absence de Fenrir qui, il ne s’en doutait pas, était considéré comme un fils par le couple, et un jeune frère par Iskander…

De son coté, après avoir été photographié pour des papiers d'identité futurs, l’hybride embarqua avec les autres dans un camion les menant à une fourrière, là où se déroulerait la suite de leur existence.


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Fenrir Freerik [Hybride mâle - Loup noir] Gn2t
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Mer 30 Nov 2022, 00:21
Bonjour et bienvenue Fenrir ^^

Je vais déjà t'arranger le code de la fiche, ce n'est rien. Certaines balises ont dû sauter par accident quand tu as écrit ou posté. Wink

Edit : le code est réparé ! Je ne pourrais lire le contenu de ta fiche que demain par contre, mais n'hésite pas à prévenir si tu as d'autres soucis ou questions d'ici-là :)
Fenrir Freerik
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Hybride mâle
Mer 30 Nov 2022, 01:10
Bonsoir avant le dodo :P

Merci pour l'accueil déja. :)
Merci d'avoir trouvé ou était le soucis dans la fiche c'est beaucoup plus lisible. Very Happy

Et pour la lecture du contenue....*repense aux passages coupés/retirés de son histoire qui aurait pu être beaucoup plus longue* Y'a pas de problème. :'D

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Fenrir Freerik [Hybride mâle - Loup noir] Gn2t
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Ven 02 Déc 2022, 15:08
Bonjour Fenrir et navré de l'attente,

Je suis enfin arrivé au bout de ta fiche et en effet ton histoire est longue, mais elle est aussi agréable à lire ^^
Il manque quelques mots ici et là avec également quelques répétitions de mots ou de morceaux de phrases, mais je pense qu'avec une relecture tu pourras facilement corriger ça.

Sinon, je n'ai relevé que deux incohérences par rapport au contexte du forum :

Le sort des enfants hybrides à la fermeture du laboratoire

Fenrir a écrit:
… le vieil homme se tourna vers les enfants, les informant qu’ils allaient venir avec lui qu’ils allaient venir avec lui et qu’ils allaient tout faire pour leur trouver une nouvelle vie, loin des expériences et avec plein de promenades dans le parc.
(…)
l’homme lui répondit qu’ils se dirigeaient vers un orphelinat spécialisé dans les enfants issues de circonstances exceptionnelles.

Considérant que cette scène se déroule en Norvège et que le Laboratoire a été fermé par les autorités, l'orphelinat spécialisé dont tu parles peut exister là-bas, mais les hybrides qu'il accueille ne pourront pas y vivre indéfiniment ni y retrouver une vie "normale" ou être "adoptés" par des familles norvégiennes tel que Fenrir l'a été : le cas du loup est accepté en tant qu'exception, car l'homme l'a dès le début pris à part des autres, il a ainsi été soustrait du système et par la suite, il a vécu à l'écart dans la maison de l'homme.
Quant aux autres enfants hybrides malheureusement, au plus tard à leur majorité, l'orphelinat ne pourra plus les garder en charge et ils devraient alors obligatoirement être envoyés au Japon, à MS-Town, puisqu'il n'y a que dans cette ville que leur existence est reconnue et autorisée…
Une fois à MS, ils pourront retrouver une identité avec des papiers officiels grâce à la ville, qui leur permettront d'être vendus légalement si on considère que les autorités norvégiennes et les autorités japonaises de MS auront passé un accord pour récupérer ces hybrides auparavant illégaux.
Il faudrait donc corriger ce petit passage dans ta fiche s'il te plaît :)

La vente de Fenrir
Ce qui m'amène à la façon dont Fenrir se retrouve en vente à MS-Town, car tu n'as pas précisé à la fin de ton histoire, quel type de vente tu avais choisie pour ton personnage mais tu mentionnes le fait que les autorités lui offrent le choix de rentrer en Norvège s'il le souhaite… Or ce n'est pas une situation possible : l'homme qui l'avait adopté étant enfant en Norvège n'avait aucun droit légal de le posséder là-bas et comme dit précédemment, si le loup a pu rester avec lui tout ce temps dans ce pays, c'est uniquement un cas d'exception car il y vivait à l'écart et à l'insu des autorités locales.
De même, son voyage jusqu'au Japon n'a pu se faire sans problème que s'il a dissimulé ses attributs animaux afin de passer pour un humain.
Ensuite, dès son arrivée au Japon, Fenrir a été enlevé avec sa maîtresse et est passé du côté illégal avec ses combats clandestins et son nouveau maître qui l'avait acquit frauduleusement. L'arène de combat ayant été fermée par les autorités de la ville, Fenrir ne peut qu'être récupéré au même titre que les autres hybrides et esclaves et directement destiné à une vente légale par la ville (avec création de papiers d'identité pour légaliser son existence et sa future vente ici) car officiellement, il n'a pas de maître légal et Frigg elle-même ne pouvait pas être légalement considérée comme sa maîtresse…
Donc même si le loup l'avait souhaité, il n'aurait jamais pu retourner en Norvège avec le corps de la défunte et les autorités de MS-Town ne le lui auraient pas proposé.
Ce point-ci serait donc à corriger également ^^


Une fois que ce sera fait, préviens-nous ici ou par MP et nous pourrons te valider si tout est bon  Wink
Fenrir Freerik
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Fenrir Freerik

Hybride mâle
Ven 02 Déc 2022, 15:20
Coucou Père Noël Uyoku (Hésites pas à être un cadeau au pied de mon sapin :P)

Alors alors, je vais modifier tout ce que je peux tout de suite.

Pour la vente de Fenrir c'est maintenant précisé :)

Je vais mettre les changements en gras pour qu'il soit plus facile de les retrouver :)

Edit : j'ai également mit de la couleur pour les changements. :)
Edit 1: Changement d'avatar pour coller aux gouts (tout en restant dans les miens) de la personne qui va acheter Fen. :)
Edit 2 : En faisant des changements j'ai recassé la fiche j'suis désolé >w<

Merci d'avance pour votre patience et vos conseils :)

Sinon je crois que tout est finie. :)

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Fenrir Freerik [Hybride mâle - Loup noir] Gn2t
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Lun 05 Déc 2022, 20:05

Fiche validée !

Bonsoir Fenrir,

Je vois que tu as terminé ta fiche et trouvé un nouvel avatar !
Merci d'avoir apporté les modifications nécessaires, le code de ta fiche est à nouveau réparé x)
Ne pouvant être moi-même un cadeau, je t'offre ta validation Wink

Quelques liens utiles pour débuter en plus de ton futur RP à la fourrière :
- Pour trouver des partenaires de RP, tu connais déjà le chemin, c'est dans les petites annonces.
- Tu peux faire également ta fiche parcours.

Nous te souhaitons un bon jeu parmi nous !

Le staff de MasterSoumis
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