☆ Par où commencer pour mon physique...peut-être par le plus simple : je suis albinos, ce qui veut dire que j’ai les cheveux blancs, les yeux rouges et la peau très pâle que je n’expose pas au soleil de peur de “brûler”.

Sinon, à part ça, je fais 1m78 pour 80kg de muscles car oui, je fais en sorte d’entretenir mon corps en faisant du sport régulièrement. 1h de course le matin avant d’aller travailler et quelques exercices quand je suis dans mon bureau et que j’ai le temps ou bien quand je rentre le soir. J’aime entretenir mon corps plus que mon esprit je dirais. Je porte des lunettes pour faire attention à mes yeux, souffrant de myopie, ce qui est normal avec mon albinisme. Mes yeux se sont abimés à force.

Pour ce que je porte quand je suis au travail c’est la tenue habituelle : chemise blanche ouverte, car je ne supporte pas qu'elle soit fermée. J’ai l’impression d’étouffer. Pour la suite, je porte un pantalon de costume noir ou bleu nuit, toujours du foncé pour le travail, et pour terminer, des chaussures de ville toujours bien cirés et brillantes. Quand je reçois des personnes importante, je porte un costume entier avec même une cravate de temps en temps s'il le faut. Lorsque je suis chez moi je porte la plupart du temps un jean, toujours une chemise blanche ouverte et des rangers, une vieille habitude que j’ai. Sinon en dernier, je porte une tenue de sport vu que dès que j’ai du temps libre je fais du sport, ce qui m’aide à supporter ma maladie. Un bien pour un mal.

Et pour terminer, j’ai des cicatrices sur le corps au niveau des poignets et des chevilles, c’est de la scarification pour être franc. On ne va pas se le cacher, j’ai eu des périodes sombres qui ont fait que j’en suis arrivé à ce stade là mais je les cache pour ne pas effrayer les gens avec. Sinon j’ai les oreilles percées, la langue, le bout de mon..., vous voyez, je vais pas vous le dire, le nombril, je suis assez fanatique pour chaque fois que je sortais la tête de l’eau dans laquelle je me noyais, je m’offrais un piercing. Je suis peut-être encore loin de ne pas en faire  d’autres si j’en ai besoin. Où sinon je me fais des tatouages, qui fait partie de ma propre thérapie, mais aussi par rébellion envers ma famille qui aimait pas ça. Pour commencer j’ai fais faire le portrait de ma petite soeur sur le pectorale gauche au niveau du coeur tellement je l’aimais. Dans mon dos j’ai fait faire un dessin d’un clown triste et creepy à la fois. Car j’aime tout ce qui touche à l’horreur. Sur mon mollet droit se trouve une mygale, sur mon avant bras droit se trouve un poignard entouré d’un serpent et je crois que c’est tout. C’est déjà pas mal je dirais, je compte aussi en faire d’autres dans l’avenir.

J’ai décidé de vivre dans la résidence Winderlyn ayant totalement les moyens de me le permettre.

Qui suis-je ? Je vais vous le dire moi et sans me cacher. Vous saurez tout ce qu’il faut savoir sur moi et sur qui je suis à l’intérieur.

Pour commencer, vu que je dis toujours le plus important, c’est que je suis un bipolaire. Vous vous direz que c’est une maladie qui se soigne avec des médicaments, et c’est vrai, mais il m'arrive de faire des rechutes. Nous avons deux facettes comme celle d’une pièce de monnaie. Je peux être doux et gentil un jour et le lendemain, je peux être méchant et froid comme la glace. A part mes médicaments, ce qui me faisait tenir, c’était ma petite sœur. Elle m’aidait beaucoup à rester stable mais depuis son départ, j’ai fait plusieurs rechutes qui m’ont obligé l’hospitalisation de force si je ne voulais pas perdre la tête. Cette maladie m’a poussé à la scarification ainsi qu’à une envie d'en finir. Je ne suis pas stable comme tout le monde le pense, j’ai un traitement qui m’aide à me stabiliser, mais il n’est pas aussi efficace qu’on peut le penser.

Le reste je vais vous faire une petite liste avec un peu de description.

- A l’écoute : Je suis souvent plus à l’écoute des autres que de moi-même, cela me gêne pas d’écouter les personnes que j’apprécie se plaindre, mais je ne serais peut-être pas à l’écoute de mes futurs esclaves. Ou peut-être un peu, juste pour leurs besoins primaires pas pour les entendre se plaindre de tout et n’importe quoi contrairement à mes amis.

- Loyal : J’ai et je suis toujours une personne loyal sur qui on peut compter, ma famille pouvait compter sur moi, donc celui qui aura ma confiance pourra avoir la loyauté et me faire confiance surtout et n’importe quoi.

- Autoritaire : Dans mon métier il le faut bien, je suis quelqu’un d’autoritaire qui donne des ordres qui doivent être excuté sans qu’on ne me duisse quoique ce soit, sinon je pourrais me montrer agressive.

- Réservé : Je suis un homme assez réserver, je ne vais pas aller voir en premier quelqu’un, je serais plus du genre à attendre qu’on vienne à moi. Mais ce côté là j’évite de le montrer car je trouve que cela fait partie de mes faiblesses comme ma maladie que je ne parle à personne.

- Tolérant : Dans tous ce que je site, je suis aussi quelqu’un d’assez tolérant d’un certain côté. Je ne suis pas non plus l’homme le plus tolérant du monde, mais je le suis un peu avec les gens, mais pas avec moi, je ne tolère pas que je sois malade.

- Direct : Je ne cache pas mes mots, quand j’ai envie de dire merdre je le dis, donc je ne mâcherai pas mes mots si quelques choses me déplaît, que ça soit un ami ou même pour un esclave. Je lui dirais clairement les choses si cela doit être fait.

- Impatient : Je ne suis pas une personne très patiente je dirais, et je n’aime pas qu’on me fasse attendre d’un côté aussi. Alors je ne sais pas si je serai sle plus patient du monde avec mes futurs esclaves, je sais déjà que je ne le suis pas avec ceux de la fourrière, je leur dis de la fermer quand ils doivent se la fermer.

- Maniaque : Avec ma maladie, je suis quelqu’un de maniaque, cela m’aide à garder le contrôle des choses et de moi-même. Je serais intrangisant sur cette chose avec mes futurs esclaves. Même ma fourrière est rangé et nettoyer tous les jours pour ne pas que cela soit le bordel. Vous verrez mon burreau, chaque chose à sa place, comme chez moi chaque chose à une place pour ne pas que je sois mal psychologiquement.

- Réfléchi : Avant d’agir ou même faire une chose je rélféchis toujours aux choses et aux conséquences que cela peut amener. J’essaye toujours d’avoir un coup d’avance sur ce qui se passe pour ne pas avoir de surprise, car je n’ai pas être suprit. Je ne supporte pas ça qu’on me surprenne, ou qu’une personne est un coup d’avance sur moi.

- Travailleur : Je suis sune personne trop attaché à son travail et cela depuis la mort de ma famille tout entière. Je fais mon deuil de cette façon, et j’espère qu’un jour j’arriverai à me calmer et moi travailler comme je le fais. Même mes jours de repos je travaille en continue, ou trouve un moyen de m’occuper pour ne pas perdre la tête.

- Insomniaque : Dans tout cela je suis aussi un insomniaque, bien que je prenne des médicaments pour dormir, cela ne fonctionne pas toujours et il m’arrive de ne dormir que quelques heures pas nuit. Je les passe alors à ce moment-là à lire ou bien dessiner ce qui me passe par la tête.

Aime : Le rangement, l’obéissance, la loyauté, la nourriture, le sport, les films d’horreur, collectione les clowns, lire, dessiner, fumer et boire de temps en temps

N'aime pas : Le désordre, la violence gratuite, le bruit dans sa tête, se faire à manger, les menteurs, sa maladie (même s'il se soigne avec des médicaments)

Ma vie, maintenant en plus de vouloir connaître qui je suis et ce que j’ai vécu depuis que je suis en âge de comprendre la vie et ce que j’ai bien put vivre en 34 ans de vie.

Pour commencer je viens d’une famille riche, ma mère étant française et mon père américain c’est lors d’un mariage arrangé qu’ils se sont connus, je sais que cela ne fut pas simple pour eux au début, mais l’amour naquit entre eux. Et voit là, je suis leurs premier enfant né, un fils pour hérité de l’affaire familliale de mon père et de ma mère qui c’était allié par leurs mariages. Ils étaient dans le codage informatique où ce qui peut en toucher. Et dix ans après ma naissance et naît ma petite soeur Lara, que j’ai tout de suite aimé comme pas possible. Je faisais tout pour la rendre heureuse. Je ne connais pas mes grands-parents, ceci étant morts bien avant ma naissance.

Par la suite, vers l’âge de 16 ans ma famille a décidé de me faire apprendre plusieurs langues doux le fait que je parle courament japonais, français et anglais ainsi que l’espagnol, une langue que ma mère appréçiait énormément. Alors que je voulais faire des études dans tout ce qui touche les métiers de bouches, je fus obligé d’aller à la fac pour aller dans tout les domaines de l’informatique pour pouvoir prendre la suite de la famille. En tant que pdg, je suis alors partit dans cette filière à contre coeur, mais cela faisait plaisir à ma famille. Mais ce n’est alors que j’ai commencé à changé, je faisais des crises, un coup j’allais bien et un autre j’étais au plus bas au point de me scarifier. Ma famille avait peur que cela arrive car ce que je ne savais pas, c’est que ma grand-mère maternel souffrait de bipolarité et de plus que cela peut sauter une génération et se transmettre à une autre. Mais il a fallut un choc pour que cela se déclanche, et le choc fut la perte de mon premier amour. Vous vous direz que cela est bien ridicule, je suis d’accord avec vous. Mais cet homme était tout pour moi, il ne supportait pas de passer après ma famille et aussi ne supporter par mes sauts d’humeurs qui se déclenchait du jour en lendemain. Cette perte fut lourde et provoqua le besoin d’être suivit psychiatriquement, ce que je fis tous les mois je voyais mon psychiatre pour parler et adapter mon traitement. Mais ce qui fonctionnait le mieux c’était d’être auprès de ma petite soeur, elle me calmait mieux que tout ses médicaments.

C’est à l’âge de 28 ans que j’ai été diagnostiqué souffrant de bipolarité et que cela avait été transmit part ma famille, que cela avait juste sauté la génération de ma mère et était tombé sur la mienne. Mais je remercie tout et n’importe qui, que cela m’ai touché moi et non ma jeune soeur que je chérissait plus que tout. Je la pourrissais de cadeaux dès que je le pouvais, recevant de la part de mes parents des refléxions, mais ils comprennait que cela m’aidait à me calmer et de mieux vivre. Après mes études forcés et le perte de mon amour, chose que je ne crois plus du tout. Car ceux qqui ne savent pas le diagnostique d’un bipolaire peu-être long et ce qui fut mon cas. Car au début on pensait juste à une dépression et non à un trouble bipolaire, voilà pourquoi il a fallut du temps à mon psychiatre pour me diagnostiquer. Par la suite un traitement fut adpaté au chose, mais je ne cache pas que j’ai fais plusieurs crises qui m’ont conduit à l’hôpital psychiatrique de force ou avec mon accord. La seule chose qui fonctionnait mieux que mon traitement était la présence de ma petite soeur. Elle était mon tout, je l’aimais plus que tout.

Deux ans plus tard lorsque j’étais hospitalisé suite à une crise qui a faillit me coûter la vie, j’ai perdu ma famille, toute ma famille. Ils ont eu un accident de voiture un soir, un chauffeur sur l’autouroute à faire demi-tour et est rentré à la rencontre de la voiture de mes parents. Personne mais quand je dis personne des deux côtés en est resortit vivant. Je ne pensais pas que mon monde pourrait tomber plus bas que ça et là je venais de perdre tout ce qui me tenait à coeur. J’ai alors repris la suite de la famille sauf que j’ai tout hérité. Un héritage qui était tombé bien trop mal, me voilà à 30 ans chef d’entreprise, entreprise que maintenant gère un cousin éloigné car je ne pouvais pas rester en  France et je ne voulais pas aller vivre en Amérique. J’ai alors pris la décision de partir loin et d’aller au Japon. Par l’intermédaire de nos collaborateurs, qu’il y avait une ville au Japon où je pourrais repartir à zéro, voilà comment je suis arrivé à MS-Town.

Quand je suis arrivé là-bas je me suis acheté une maison et ai décidé de changer de métier si je peux dire ça comme ça, du moins de fillière. Avec l’héritage que j’ai reçu, j’ai décidé d’acheter une fourrière et d’en devenir le propriétaire. J'ai décidé de revendre ma maison pour me prendre un appartement à Winderlyn. Cela me permet de ne pas penser à ma famille morte, car je me reproche leurs morts même si j’y suis pour rien. Et je ne peux pas me venger auprès ce delui qui les a tué, vu qu’il est déjà mort. C’est alors que je suis devenu maître et propriétaire d’une fourrière. Je trouve que m’occupais des esclaves hybrides, du moins gèrer leurs ventes est plus simple que celle des humains. Je me suis remis alors dans le travail, mais vraiment dans le travail sans jamais m’arrêter. Les seules moments pu je prend une  pause c’est pour aller voir mon psychiatre et quand j’ai une crise que je ne peux contrôler.

Ce que je pense de l’esclavage et que je suis n’y pour, n’y contre, un peu neutre, j’aurais très bien pu être un résident, mais non je me dis que si je trouve un esclave que sa soit un homme ou une femme me permettrait de retrouver un équilibre dans ma vie. Cela fait 4 ans que je suis ici, mais je n’ai pas encore prit d’esclave étant trop occupé dans mes tâches. Peut-être cela me permettrait de ralentir et de penser à moi. Je ne batterai pas mon esclave, mais je ne me cacherai pas de lui dire les choses clairement et comment il ou elle doit se comporter avec moi.